Nous voilà sortis du Gobi, et du coup, les pistes s’améliorent. On roule même parfois à 80 km /h. Nous arrivons donc plutôt que prévu à Arvaikheer. Courses, achats divers, le marché de la ville est très intéressant, un peu comme un soukh avec moins d’animation : les vendeurs n’interpellent pas le chaland.
Au bivouac près de la ville, Michel se rend compte que sa fuite de gas-oil s’aggrave. Hop, il passe dessous et là, verdict : une fissure dans le réservoir. Demain, pendant que nous irons chercher une liaison Internet, il ira dans un garage. La réparation est faite (et bien faite) dans la matinée.
C’est à la poste que nous irons nous connecter. Coût : 500 ter pour une heure. Après ArvaiKheer, il pleut. Par chance, on est sur le goudron. Compte tenu de la météo, on fait le grand tour pour rejoindre Karakorum.
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